Bonjour,
Certes il ne faut jamais tirer sur une ambulance, mais tout de même !
Certes il ne faut jamais tirer sur une ambulance, mais tout de même !
J'aurais voulu me tromper, avoir tord, passer pour un Charlot tellement mes analyses étaient mauvaises mais je ne me suis pas trompé et ce n'est pas fini.
La droite va certainement perdre Toulouse, Carcassonne et Narbonne, mais elle sera toujours "droite dans ses bottes" drapée dans ses certitudes et fière de foncer dans le mur en klaxonnant bien fort avant de le percuter. Les adversaires d'en face, d'ici ou d'ailleurs, même s'ils n'ont pas de projet ou de réelle ambition de propositions ont toutes les cartes en mains puisque la droite les leurs a données.
Au lieu de penser qu'elle a raison (la droite) elle ferait mieux de regarder ce qui ne va pas en son sein, de comprendre pourquoi et comment elle en est arrivée là mais surtout elle doit apprendre à écouter la base.
Tant sur le plan local que national elle doit arrêter de se prendre pour ce qu'elle n'est pas ou plus et cesser de penser qu’elle seule pourra rendre le « bon peuple heureux ». Le bonheur n’est ni de droite ni de gauche.
Bien sûr les promesses n'engagent que ceux qui les croient disait l'autre, mais n'est-ce pas un peu facile et irresponsable cette façon de toujours promettre sans savoir si elles seront tenues ? Ou plus grave en sachant qu’elles ne le seront pas et de feindre l'étonnement quand cela provoque dans un premier temps la déception et dans un deuxième la colère ? N'oublions pas que nous (le peuple) sommes imprévisibles, il n’en fait qu’à sa tête ( Marie Antoinette en sait quelque chose). Notre culture nous pousse à descendre dans la rue pour un oui ou un non et quand nous savons que personne n’avait vu venir mai 68, alors un beau matin nous risquons de nous réveiller avec comme un vent de révolte qui flotte dans l’air. Explosif me direz-vous, vraisemblablement vous répondrais-je. Peu de gens imaginent qu'aujourd'hui tout est à nouveau réuni pour un nouveau chaos. Tout le monde pense que ça va passer, que c'est juste une question de temps. Je ne le crois pas. Des voix commencent à s’élever pour dire leur inquiétude. De plus en plus de gens ont faim et souffrent en silence. Ils n'ont plus rien à perdre et si vous rajoutez à cela un immense ras le bol général, alors nous sommes en droit de nous dire que les prochaines saisons risquent d'être très chaudes. Dans un monde où la violence est devenue le moyen d'expression des gens qui n'ont plus rien à perdre nous avons du souci à nous faire.
Je vous donne rendez vous mardi pour un nouveau billet, d’ici là je vous souhaite une bonne journée et un bon week end .
Au lieu de penser qu'elle a raison (la droite) elle ferait mieux de regarder ce qui ne va pas en son sein, de comprendre pourquoi et comment elle en est arrivée là mais surtout elle doit apprendre à écouter la base.
Tant sur le plan local que national elle doit arrêter de se prendre pour ce qu'elle n'est pas ou plus et cesser de penser qu’elle seule pourra rendre le « bon peuple heureux ». Le bonheur n’est ni de droite ni de gauche.
Bien sûr les promesses n'engagent que ceux qui les croient disait l'autre, mais n'est-ce pas un peu facile et irresponsable cette façon de toujours promettre sans savoir si elles seront tenues ? Ou plus grave en sachant qu’elles ne le seront pas et de feindre l'étonnement quand cela provoque dans un premier temps la déception et dans un deuxième la colère ? N'oublions pas que nous (le peuple) sommes imprévisibles, il n’en fait qu’à sa tête ( Marie Antoinette en sait quelque chose). Notre culture nous pousse à descendre dans la rue pour un oui ou un non et quand nous savons que personne n’avait vu venir mai 68, alors un beau matin nous risquons de nous réveiller avec comme un vent de révolte qui flotte dans l’air. Explosif me direz-vous, vraisemblablement vous répondrais-je. Peu de gens imaginent qu'aujourd'hui tout est à nouveau réuni pour un nouveau chaos. Tout le monde pense que ça va passer, que c'est juste une question de temps. Je ne le crois pas. Des voix commencent à s’élever pour dire leur inquiétude. De plus en plus de gens ont faim et souffrent en silence. Ils n'ont plus rien à perdre et si vous rajoutez à cela un immense ras le bol général, alors nous sommes en droit de nous dire que les prochaines saisons risquent d'être très chaudes. Dans un monde où la violence est devenue le moyen d'expression des gens qui n'ont plus rien à perdre nous avons du souci à nous faire.
Je vous donne rendez vous mardi pour un nouveau billet, d’ici là je vous souhaite une bonne journée et un bon week end .
3 commentaires:
Nous payons surtout vos erreurs précédentes et le fait,que certains d'entres vous appelent à voter Maugard sur le marché ( Embry ) entre-autre.
Mais rassurez-vous nous ne sommes pas mort pour autant.
Merci pour votre commentaire.
Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut rien entendre comme il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut rien voir.
C'est la faute des autres bien sûr, comme toujours! Pourrons nous pour les prochaines élections en avoir enfin terminé avec le passé?
Travailler sur un projet, un programme,l'avenir quoi... Mais l'avenir de tous passe forcément par un rassemblement général, est-ce possible?
Et bien sûr vous étiez sur le marché et vous avez vu de vos yeux et entendu de vos oreilles Monsieur Embry appeler les gens à voter pour Monsieur Maugard!!! C'est évident !
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